L’augmentation mammaire par implants est l’une des interventions de chirurgie esthétique les plus populaires, avec des millions de femmes dans le monde ayant recours à cette procédure pour améliorer la taille et la forme de leur poitrine. Cependant, il n’y a pas de méthode unique pour la réaliser et plusieurs techniques peuvent être utilisées pour atteindre l’objectif souhaité. Chacune a ses avantages et ses inconvénients, et il est important pour les patientes de comprendre ces différences avant de prendre une décision éclairée quant à l’intervention qu’elles souhaitent subir. Découvrez les techniques chirurgicales pour l’augmentation mammaire par implants les plus courantes.
Pourquoi une augmentation mammaire ?
Les raisons qui poussent une personne à se tourner vers une augmentation mammaire sont nombreuses et surtout personnelles. Chaque cas est unique ! Certaines femmes veulent améliorer leur physique ou corriger un défaut de leur poitrine. D’autres veulent booster leur confiance en elle-même. Et il y a celles qui recherchent avant tout un résultat pratique ou plus confortable.
Les praticiens peuvent recommander diverses techniques chirurgicales à leurs patientes. La méthode par implants est l’une des plus courantes.
Techniques fréquemment utilisées pour une augmentation mammaire par implants
Il existe plusieurs techniques chirurgicales utilisées par les professionnels pour l’augmentation mammaire par implants à Marseille et partout en France. Voici quelques-unes des techniques les plus courantes :
- Incision péri-aréolaire : cette technique implique une incision autour de l’aréole, la zone pigmentée autour du mamelon. Elle permet un accès facile à la poitrine et minimise les cicatrices visibles, mais peut causer des problèmes d’allaitement et de sensibilité ;
- Incision sous-mammaire : cette méthode consiste à effectuer une incision dans le pli sous le sein. Elle offre un accès facile à la poitrine, permet une insertion précise de l’implant et minimise les risques de complications, mais peut laisser des cicatrices visibles ;
- Incision axillaire : elle nécessite une incision dans le creux de l’aisselle. Elle minimise les cicatrices visibles sur la poitrine, mais peut rendre l’insertion de l’implant plus difficile et peut causer des problèmes de symétrie ;
- Injection de graisse autologue : cette technique implique l’utilisation de graisse prélevée dans une autre partie du corps de la patiente pour réaliser l’augmentation mammaire. Elle peut être moins invasive que l’utilisation d’implants, mais nécessite souvent plusieurs sessions pour atteindre le volume souhaité ;
- Implants mammaires en silicone ou en solution saline : les implants peuvent être placés derrière le tissu mammaire ou derrière le muscle pectoral. Les premiers offrent un aspect et un toucher plus naturels, mais nécessitent une surveillance régulière pour détecter toute fuite ou rupture. Les seconds sont remplis de solution saline stérile et peuvent être ajustés pour atteindre un volume personnalisé, mais ont souvent un aspect moins naturel.
Conclusion
Chacune de ces opérations chirurgicales n’est pas sans risques pour la santé. Il est important de discuter des options d’augmentation mammaire à l’aide d’implants avec un chirurgien qualifié et de choisir la technique qui répond le mieux aux besoins et aux préférences individuels de la patiente.